Alors comme ça tu veux que je sois ta Maîtresse, ça t’excite de voir des photos et vidéos de soumis sous cage de chasteté ? Pas de soucis, je vais m’occuper de ton cas. Commence par te mettre à poil et plus vite que ça.

Passer soudain du fantasme à la réalité après le dîner comme ça et sans discussion vous perturbe, vous voulez mettre des règles, fixer des limites, en parler mais votre femme ne semble plus décidée à discuter de tout ça.

• Presse-toi une Maîtresse n’aime pas attendre !

Debout devant elle, près de votre ordinateur portable qu’elle vient de fouiller, vous commencez par détacher les boutons de votre chemise, vos mains deviennent moites. Elle ne vous regarde pas, son attention est attirée par votre ordinateur sur lequel elle fait défiler les photos érotiques que vous avez copiées pour vos petits plaisirs solitaires.

• Je vois que les cages de chasteté te font fantasmer, ce soir, tu sortiras celle que tu as achetée il y a longtemps, à partir d’aujourd’hui elle va servir.

Devant le ton de sa voix et son attitude de femme bien décidée, en ouvrant la ceinture de votre pantalon, vous revenez à la charge sur les limites de ces envies de vous soumettre. Vous commencez à lui préciser que ce n’est qu’un jeu et que,

• Tu m’ennuies à vouloir discuter, soumis tu voulais être soumis tu vas l'être. Ne discute pas où tu vas être puni. Vous répond Andréa en vous coupant la parole.

Votre gorge se serre, vous savez qu’Andréa est obstinée et têtue. Dominante dans la vie, elle a repris l’entreprise de son père, ses employés, des maçons, des couvreurs et autres métiers du bâtiment marchent droit. Ils ont bien essayé de chahuter avec une « simple » femme, mal leur en a pris. Née dans ce métier, elle ne s’est pas privée de leur donner une fessée verbale en soulevant leurs erreurs publiquement en réunion de travail.

On ne lui résiste pas quand elle a décidé quelque chose ou on quitte l’entreprise avec pertes et fracas. Il est vraie que sa carrure, un mètre quatre-vingt cinq et son caractère bien trempé impose le respect et l’obéissance.

• Ton slip du con, c’est moi qui le retire ?

Dépité, vous retirez le dernière rempart de votre pudeur, vous ne vouliez pas que cela se passe comme ça mais n’osez plus rien dire.

• Putain, c’est quoi ça, tu mattes des vidéos de femmes qui donnent des fessées à des mecs ? Crie Andréa en continuant de fouiller votre PC. On va commencer par le début. Va chercher ta cage de chasteté et magne-toi où je vais te tanner les fesses.

Vous ne savez plus quoi penser, résigné et piégé par vos fantasmes, vous exécutez ses ordres comme si votre volonté s’était envolée. En revenant avec la boite de votre cage de chasteté entre les mains, vous vous sentez plus que nu.

• Qu’attends-tu pour la mettre ?

Vous ouvrez la boite, sortez votre cage de chasteté souvent portée en son absence, et passez le cockring puis la refermez sans aucune difficulté.

• Je vois que tu as l’habitude de mettre ce truc, tu joues avec si je comprends bien. Monsieur se fait ses films BDSM dans sa tête pendant que je me les gèle sur les chantiers. Tu fais ça souvent ?

Vous bafouillez, n’osez pas lui avouer que tous les lundis vous vous amusez seul quand elle fait ses tournées des chantiers en moto pour gagner du temps. Vos réponses sont confuses, le courage vous manque, elle a l’air si décidée qu’elle vous fait peur.

• Tu ne me dis pas la vérité, cela se voit, cela se sent, vient t’allonger sur mes genoux, nous allons en parler !

Le sol semble se dérober sous vos pieds nus. Vous ne réagissez pas. Andréa prend votre main, vous retire les clés de votre cage de chasteté puis vous attire sur ses genoux. L’heure d’un interrogatoire musclé a sonné, vous n’allez pas tarder à le découvrir. Enfin étendu sur ses genoux comme un gamin qui va recevoir une fessée, vous attendez qu’elle tombe, au lieu de ça, elle fait rouler la chaise du bureau pour se rapprocher de votre ordinateur.

• Voyons voir ce que cachent ces dossiers, il y a des trucs de folie dans le PC de mon mari. « Aux pieds de femmes » c’est quoi ce truc ?

Les clics que vous entendez broient vos espoirs de clémence comme une noisette dans un casse-noisette.

Lécher les pieds d’une femme t’excite ?

Vous improvisez une réponse : « Non chérie, c’est juste des photos qu’un copain du net m’a adressées ».

• Le dossier contient une quarantaine de sous-dossiers, tu te fous de ma gueule ?

La chaise de bureau roule un peu vers l’arrière, une première claque appuyée s’abat sur vos fesses. Une seconde suit aussitôt suivie d’une série toutes aussi fortes vous arrachant des cris.

• Quoi, tu oses râler alors que cela t’excite ? C’est sûr puisqu’il a autant que des dossiers fessée que de mecs léchant les pompes de Maîtresses !

La fessée reprend de plus belle, sa main semble être un battoir tant vous avez mal. Vos fesses prennent feu, vous vous débattez, son bras gauche se serre et vous bloque. Vous prenez conscience que physiquement elle est plus forte que vous. Etre basketteuse et fille de maçon a fait les muscles de votre femme bien plus grande et plus charpentée que vous. Quand elle fait une pause, vous avez l’impression d’avoir une fourmilière entière de fourmis légionnaire d’Amérique qui vous dévore.

• Je ne fais que survoler tes dossiers ! Dit-elle avant de rapprocher à nouveau la chaise de bureau de votre ordinateur.

Aussi blême que vos fesses sont rouges, vous commencez à prier les dieux de toutes les communautés, ce dossier caché qu’elle a découvert contient des milliers de photos, des histoires érotiques et des vidéos parfois hard. Si elle tombe sur vos propres histoires érotiques vous êtes mal, très mal.

• Lèves-toi et passe-moi mon sac !

Trop content qu’elle n’aille pas plus loin dans ses recherches, vous vous exécutez aussitôt et courrez presque pour aller le lui chercher. A votre retour, en la voyant sortir de son sac un disque dur qu’elle branche à votre ordinateur, votre coeur s’arrête de battre un instant. Elle copie votre dossier général. Près de 300 gigas de secrets que vous n’auriez jamais voulu partager avec elle.

• Je finirai mes recherches plus tard, lèche-moi les pieds pendant que cela charge.

Vous répondez non, que cela suffit, vous mettre ainsi aux pieds de votre femme ne vous excite plus. En guise de réponse, elle vous donne une gifle, par réflexe vous esquiver un geste de défense et d’attaque. Votre main est bloquée en l’air par la sienne. Elle plie vos doigts, la douleur vous fait abdiquer, vous finissez à genoux en criant des « arrête » puis des « je t’en supplie ».

• Lèche-moi les pieds !

• Ecoute, ça suffit, on arrête tout, c’est bon comme ça, j’ai le droit d’avoir des fantasmes !

Cette phrase, sortie sur un ton agressif et presque criée, vous est venue naturellement, la voir sourire en guise de réponse vous rend fou de rage. Elle ne lâche pas votre main et vous toise. Vous luttez pour ne pas baisser les yeux. L’affrontement des yeux dure un instant, il vous semble des heures.

• N’oublie pas que ta patronne est mon amie d’enfance. Je sais qu’elle n’aime pas les hommes, cela te dirait que je lui confie les clés de ta cage de chasteté ?

• C’est du chantage !

• Non, de la coopération. Tu voulais porter une cage de chasteté, tu en as même achetée une et voulais me confier les clés. Je ne fais que ce que tu désirais.

• Tu exagères et ne comprends rien !

• Ah bon ? Si mes souvenirs sont bons, tu voulais que je sois ta Maîtresse. En plus, je l’ai lu dans un de tes textes où tu me fais passer pour une « gnagna » du lit n’appréciant pas les plaisirs de la vie. Tu dis même à une nana que tu dragues que je n’ai pas la carrure d’une dominatrice. Et, comble de l’infamie, tu étais prêt à lui offrir des choses, des fringues, des chaussures si elle acceptait de te dominer. Je vais donc te faire faire des économies et m’occuper de toi. Crois-moi sur parole, tu vas vivre tes fantasmes à fond ! M’humilier ainsi en parlant à cette inconnue, que j’aimerai bien croiser....., et vouloir me tromper va avoir un prix à payer. Lèche mes pieds où tu vas avoir réellement de très gros soucis ! Conclut Andréa en pliant un peu plus vos doigts pour vous guider à ses pieds.

Brisé, piégé, honteux et inquiet pour votre avenir professionnel car vous savez qu’elle est capable de parler à votre « salope » de patronne, vous abdiquez et embrassez ses pieds. Elle lâche vos doigts puis plaque votre tête sur ses petons qu’en d’autre temps vous auriez câlinés avec plaisir. Pendant que vous lapez ses orteils, elle appuie sur votre tête et vous demande plus d’application. Vous ne pouvez que vous exécuter, vous n’avez pas d’autre choix ce soir, demain vous reviendrez à la charge et aurez une explication. Vous la sentez bouger mais n’osez pas regarder ce qu’elle fait. Sa main saisit vos cheveux et vous fait remonter vers elle. Vous découvrez qu’elle a remonté sa jupe et écarte son string.

• Lèches là aussi ! Dit Andréa en désignant son chaton. Il y a longtemps que tu ne l’as pas fait. Tu négliges ta Maîtresse, une reprise en main s’impose.

Ses yeux rieurs vous font espérer une trêve, qu’il ne s’agissait que d’un jeu ponctuel, d’une leçon qu’elle voulait vous donner. A quatre pattes comme un chien devant votre femme, vous avancez votre visage du triangle des amours. Votre langue se met en quête du bouton des plaisirs, elle écarte ses lèvres intimes pour vous en faciliter l’accès. Petit à petit vous vous décontractez, votre langue goûte ses sécrétions généreuses, guidé de sa main toujours dans vos cheveux, vous entrez dans une bulle plaisir. Vous sentez qu’elle réagit bien et prend plaisir.

Dans votre cage de chasteté, votre sexe commence à se développer, vos testicules tirent le cockring, votre sexe se met à ballotter entre vos jambes écartées quand elle agite votre tête. Vous n’être plus que son jouet et heureux de l’être. Elle ouvre son chemisier et soulève son soutien-gorge pour titiller ses tétons. C’est bon signe, vous la connaissez bien après dix ans de mariage, ou plutôt, pensiez bien la connaître.

Andréa se met à gémir, vous la sentez vibrer, s’exciter sur votre tête pour rendre votre langue plus leste. En la sentant convulser puis en l’entendant pousser son petit cri si mélodieux à vos oreilles, vous êtes heureux. Elle vient de jouir. Votre tête maintenant bloquée entre ses cuisses serrées, vous attendez patiemment qu’elle s’apaise puis vous libère. Elle serre tellement les jambes sur vos oreilles, que vous entendez votre coeur battre la chamade. Après quelques instants, elle vous libère, vous la regardez en souriant.

• Allez on va se coucher !

• Et moi ?

• Et toi rien !

• Et ma cage de chasteté ?

• Elle est bien là où elle est.

A suivre ICI

Attention, cela va devenir de plus en plus hard et vous allez souffrir.

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